Exposition « Univers unis »

Stefanie HEYER et Christophe Stephan DURAND

PEINTURES

EXPOSITION du Vendredi 6 au Samedi 21 Octobre 2017
VERNISSAGE le Vendredi 6 Octobre 2017 de 18h30 à 22h30
FINISSAGE le Samedi 21 Octobre 2017 de 18h30 à 22h30

en présence des artistes

Événement : Participation à Paris Artistes 2017
du 6 au 8 Octobre 2017

«Les scènes que je représente prennent corps dans des univers surréalistes ou fantastiques, que nous visitons tous parfois en rêve, et dont le souvenir s’estompe au lever du jour. C’est un monde peuplé par nos fantômes et nos fantasmes. Éros et Thanatos en sont les enchanteurs, et nous font explorer la beauté trouble et sacrée des sentiments humains …»

Christophe Stephan Durand

Il commence les cours de dessin et peinture à quinze ans avec une professeure des Beaux-Arts de Paris, mais choisit de s’orienter vers l’audiovisuel à l’Université. Diplômé de Paul Valery III Montpellier, il tourne deux courts métrages cinéma, « Le plongeon » et « le secret d‘Yvette », et travaille à la réalisation de nombreux événements audiovisuels « live ». Puis il enseigne quelques années la post-production à l’école de cinéma EICAR avant de partir travailler à l’étranger.
Après Londres et Tunis, il s’installe à New York puis Montréal. Il travaille successivement comme directeur à la création pour « LUMEN GALLERY » à Manhattan NYC, réalisateur sur la captation d’événements artistiques, dont plusieurs opéras traditionnels chinois, et réalisateur de publicités TV et bandes annonces de films long métrages. C’est lors de son séjour à New York que sa passion pour la peinture à l’huile s’est imposée comme une nécessité du quotidien, jusqu’à devenir une obsession, qui ne l’a plus quitté.
Il présente aujourd’hui son travail d’artiste peintre pour la première fois au public.

« A cette époque de frénésie «selfistique» et d’auto mise en scène permanente, mon travail questionne notre façon de se souvenir en jouant avec l’apparence des images, leur évaporation et leur reconstruction. Songeries, personnages vaporeux s’estompant au profit du vêtement, et collages ironiques sont autant d’illustrations de notre manière de nous construire les souvenirs, en effaçant ou en reconstruisant à marche forcée la réalité. »

Stefanie Heyer